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darwin: le mensonge de l'evolution

Le Dr Hans-Joachim Zillmer prouve que le monde académique, piégé par les dernières découvertes scientifiques, veut maintenir à tout prix la théorie de l'évolution, car autrement tous les manuels scolaires seraient non seulement à réécrire, mais les forceraient aussi à reconnaître que d'autres civilisations ont vécu avant nous, et qu'elles ont été toutes décimées par des catastrophes régulières.

Dans Darwin: le mensonge de l'Évolution, le Dr Zillmer montre que les scientifiques ont : 1) ouvertement triché au cours de ces 50 dernières années pour maintenir le public dans l'ignorance des nouvelles découvertes archéologiques allant contre la thèse de l'évolution ; 2) qu'ils n'ont pas hésité à fabriquer des fausses preuves darwiniennes ( au point que certains ont même été traduits en justice comme faussaires ), et 3) qu'ils se servent de procédés bien peu scientifiques dès qu'il s'agit de garantir, par tous les moyens, la véracité de la thèse darwinienne qui s'étiole pourtant chaque jour.

La raison ? L'effondrement de la théorie de l'évolution remettrait en cause la totalité de la pensée et de la philosophie actuelles, et focaliserait trop sur les divers cataclysmes qui ont bouleversé notre planète à plusieurs reprises ce qui explique pourquoi on retrouve des outils, des métaux, des os et des traces de pas et de mains qui ne coïncident pas avec la chronologie darwinienne. UN LIVRE CHOC.

Le Dr Zillmer est l'auteur de L'Erreur de Darwin(Jardin des Livres) qui a séduit plus de 200.000 lecteurs en Allemagne.



Darwin : le mensonge de l'Évolution

Faits étouffés - Preuves interdites Dogmes inventés - Les hommes de Néandertal et autres falsifications de l'histoire humaine


~ Prologue ~
Les Néandertaliens et autres falsifications de l’histoire humaine
Faits étouffés - Preuves interdites - Dogmes inventés


La bombe a explosé ! Un choc pour les paléoanthropologues et les évolutionnistes, car leurs disciplines scientifiques et la théorie de l’évolution de l’homme en Europe sont bouleversées jusque dans leurs fondements. Presque sans être remarquée du public, une information rôde dans les nouvelles à la radio et à la télévision : « De nombreux crânes de l’âge de pierre conservés en Allemagne seraient bien plus récents qu’on ne l’affirmait jusqu’à présent1  ». Il s’agit effectivement d’une annonce sensationnelle, qui était à vrai dire déjà prévue et discutée dans mon livre précédent L’erreur de Darwin.

Ce qui a déclenché la bombe ?

Quelques ossements de l’Université de Francfort ont été redatés à l’Université d’Oxford. Les résultats mesurés exigent impérativement de situer l’image de l’homme anatomiquement moderne d’une manière nouvelle dans une période allant au moins de -40.000 à -5.000 ans. En particulier, il n’y a pratiquement plus de squelettes humains importants dans la période de -40.000 à -30.000 ans ! Il serait amusant que le Néandertalien de Hahnöfersand ne soit vieux que de 7.500 ans, et non de 36.300 ans, ou que le crâne du « plus vieux Westphalien  » de Paderborn-Sand devienne celui du « plus jeune Westphalien  », parce qu’il n’est pas âgé de 27.400 ans, mais seulement de 250, et date de 1.750 après JC. Même les fragments osseux de la fameuse grotte de Vogelherd ne sont pas âgés de 32.000 ans, mais seulement de 3.900 à 5.000 ans. Pour ces découvertes et d’autres encore, on s’est trompé de 20.000 à 30.000 ans.

Les couches géologiques correspondant aux découvertes sont-elles également aussi jeunes, ce qui devrait nécessairement être le cas ?

L’âge des hommes modernes, prétendument entrés en Europe centrale il y a 35.000 ans, et refoulant les Néandertaliens, a été considérablement rajeuni. Il ne reste plus une découverte osseuse témoignant de son existence il y a 17.000 ans et plus ! Le plus vieil immigrant provient maintenant de la grotte de la cluse moyenne en Bavière, avec 18.590 ans. Sinon, les ossements de tous nos ancêtres sont considérablement plus jeunes que 10.000 ans. Et maintenant, des Néandertaliens qu’une datation rend plus jeunes de 30.000 ans, deviennent-ils des hommes modernes ? Ou restent-ils Néandertaliens ?

Cependant, il ne faut pas seulement réduire l’âge de la plupart des objets en général, comme de tous ceux qui ont été réexaminés en particulier : plus encore, les découvertes considérées jusqu’à présent comme néandertaliennes se révèlent des mensonges éhontés en fait d’étiquetage. Par exemple : en 1999, deux ossements de Néandertaliens trouvés dans la grotte de Wildscheuer ont été réexaminés. Les fragments de crâne trouvés en 1967 se sont révélés être ceux... d’ours des cavernes ! Actuellement, il n’y a plus que deux autres ossements trouvés en Allemagne qui témoignent de l’existence des Néandertaliens : celui de Neandertal, et une partie supérieure de fémur dans la grotte de Hohlenstein-Stadel, dans le district d’Alb-Donau, si nous laissons de côté la découverte d’une incisive de lait à Klausennische. Ces Néandertaliens devraient eux aussi être redatés.

C’est à quelques scientifiques - il faut les remercier d’avoir contribué à la découverte de la vérité - que revient en général le mérite d’avoir révélé la tromperie. En réalité, la corporation des anthropologues a caché sciemment pendant des dizaines d’années cette « arnaque  ». D’anciens assistants rapportent dans le grand magazine allemand Der Spiegel2 comment Reiner Protsch von Zieten, la star des professeurs d’anthropologie, imaginait les datations : entre collègues, son nom Protscher aurait été employé comme synonyme de « biaiser  », c’est-à-dire d’« inventer  » ! Ce fait a été couvert par des collègues pendant des dizaines d’années, car cette tromperie repose sur un système : le dogme de la provenance de l’homme ne pouvait être vendu correctement aux gens comme vérité qu’en dénaturant les faits (dans des films, des livres et des journaux).

La réflexion est bloquée par une sorte de charme dû à l’« endoctrinement évolutionniste des masses  » associé aux grands médias. On ne reconnaît même plus les contradictions les plus simples, qui frappent tout de suite le bon sens, ou les distorsions de la vérité ! L’individu croit alors que certaines choses dans ses pensées sont réelles, et il est convaincu de leur caractère absolument logique et rationnel. Il n’a aucun doute quant à l’exactitude de sa représentation.

Quand un scientifique... en blouse blanche fait une remarque quelconque destinée au grand public, alors on ne le comprend peut-être pas, mais dans tous les cas on le croit... Ils possèdent le monopole de la formule " Il est scientifiquement prouvé " 

Pour démasquer l’« endoctrinement évolutionniste des masses  », nous ne présenterons pas dans ce livre des traités scientifiques impersonnels sur des thèmes tirés par les cheveux, rédigés en chinois savant. Au contraire, nous rassemblons une grande quantité de preuves concrètes, ainsi que des faits empiriques, venus du monde entier, qui démontrent que la théorie de l’évolution est une pseudoscience basée sur des hypothèses non démontrées, fondée grâce à des falsifications scientifiques. Les preuves empiriques qui seront présentées taillent des croupières à la théorie de l’évolution qui enveloppe notre société comme une sorte de brouillard diffus, pour briser ainsi la partialité intellectuelle.

Celle qui fait partie spécialement de ce reflet trompeur, au sens du mensonge discuté dans ce livre, c’est la macroévolution, donc l’évolution au-dessus du niveau de l’espèce selon Mayr4: jamais un singe n’est devenu un homme ! En revanche, la microévolution se produit quotidiennement dans la nature et pendant les processus de sélection. Les règles de l’hérédité, ici sous-jacentes, avec la variation des espèces qui l’accompagne, sont décrites par les lois de Mendel, qui constituent aujourd’hui l’une des bases de la génétique expérimentale. Si l’on considère en plus les influences climatiques et l’isolement spatial, on obtient de nouvelles variantes d’animaux existants ou aussi d’hommes, qui ne constituent pas vraiment une évolution supérieure au sens des théories de Charles Darwin.


~ 1 ~
Cure de rajeunissement

« Quelques aspects de l’historiographie expérimentale consacrée à la Terre et à la vie... suscitent dans le public une attention particulière. On pourrait placarder des affiches où on les appellerait ’’Cure de rajeunissement Zillmer pour la terre et la vie qu’elle abrite’’. Zillmer raccourcit considérablement, en se référant à la coexistence supposée des dinosaures et des hommes, l’horizon temporel de l’évolution de la vie  », écrivait le Professeur Dr Bazon Brock5. Cette coexistence, qui contredit la théorie de l’évolution, a été étayée par des découvertes solides, car l’expert en sauriens Paul C. Sereno a trouvé récemment des os pétrifiés de dinosaures, de sauriens aquatiques et de crocodiles primitifs géants dans la même couche de la surface du Sahara, où se trouvait en même temps un os de vache et des os humains pétrifiés. L’ère (tertiaire) séparant prétendument la coexistence des dinosaures et des hommes constitue une période fantôme.

Au cours d’une recherche dans l’Arizona, mon attention a été attirée par une trouvaille inhabituelle rapportée dans le journal Arizona Daily Star du 23 décembre 1925. Dans mon livre Colomb est arrivé le dernier, j’avais publié des dessins de trois artéfacts de cette collection6. Il ne m’avait pas été possible à l’époque d’obtenir des photos. Ces artéfacts, appelés artéfacts de Silverbell en raison du lieu de leur découverte le long de la Silver Bell Road, à proximité de Tucson, sont faits de plomb. Ces objets mystérieux, trouvés lors de plusieurs fouilles menées depuis leur découverte en 1924, ont été exposés et décrits en 1925 à l’Université de l’Arizona, Tucson.

Les artéfacts de Silverbell, fabriqués en plomb et accompagnés d’un texte en latin et en hébreu, proviennent-ils d’Europe ? Toutes les civilisations importantes de l’espace méditerranéen et d’Inde maîtrisaient depuis longtemps déjà l’élaboration du plomb. Le plomb a été travaillé avec beaucoup de style dans l’Italie antique pour construire des conduites d’eau, des coupes et de la vaisselle. « Les monuments écrits les plus anciens d’Espagne sont des plaques de plomb  »7, et on a trouvé dans une tombe viking une plaque de plomb louant les hauts faits du mort. D’autres fouilles ont mis au jour des amulettes médiévales en bois et en plomb avec des lettres latines et des runes8.

Une analyse du plomb des artéfacts de Silverbell, le 24 août 1924 à Tucson, a révélé une teneur en plomb de 96,8% avec de faibles proportions d’or, d’argent, de cuivre et de zinc. On a établi que la fonte originale a été faite d’airain, minerai qui se trouve dans le sud-ouest des États-Unis. Les artéfacts semblent donc avoir été fabriqués sur place, à proximité du lieu où on les a trouvés, et non provenir d’au-delà de l’Atlantique. Il s’agit de plus de trente artéfacts : sabres et croix religieuses de plomb, qui portent en partie des dessins et des inscriptions. Dans notre cadre, un sauropode (dinosaure) au long cou, représenté sur un sabre, joue un rôle intéressant. Un rapport, paru le 23 décembre 1925 dans le New York Times, a placé cette trouvaille sous les feux de la rampe de l’intérêt des Américains et a allumé une querelle d’experts. L’archéologue majeur de l’Université d’Arizona, Dean Byron Cummings, est intervenu avec d’autres spécialistes en faveur de l’authenticité de la découverte.

Mais le lieu où on les avait entreposés était inconnu. Ils ne se trouvaient apparemment plus à l’université. Finalement, un indice conduisit au Musée de l’Arizona Historical Society à Tucson. Un premier appel téléphonique toutefois n’apporta pas de résultat positif. Plus tard, lors de ma visite du Musée, on me dit que les artéfacts étaient conservés dans la cave. Visite exclue ! Mais quand je lui expliquai que j’étais venu exprès pour eux d’Allemagne, une dame âgée accepta de nous emmener dans les couloirs souterrains, et je vis la boîte en bois. Quand je l’ouvris, quelque chose de mystérieux nous enveloppa, comme un voile. La trentaine d’artéfacts de Silverbell, censés provenir de l’an 800, étaient disposés très proprement. Je pus en photographier plus de la moitié (photos 1 et 2). Les autres tiroirs me restèrent inaccessibles car je n’avais pas demandé de rendez-vous officiel à l’avance à la direction du Musée. J’espérais trouver dans la bibliothèque des détails supplémentaires sur les circonstances de la découverte. Il y avait effectivement dans un sac des photos originales des fouilles qui avaient duré plus de 5 ans, jusqu’en 1928. Le rapport, jamais publié, de Thomas W. Bent (1964), qui avait participé aux fouilles, m’apporta des renseignements détaillés, ainsi que des esquisses de fouilles, d’autres photos et la description de l’artéfact découvert.

Une trouvaille sensationnelle me fascina particulièrement : un dinosaure figuré sur l’un des sabres de plomb. Si les artéfacts sont des supercheries, le faussaire doit avoir été un peu bête, car les dinosaures n’ont été reconstruits pour la première fois qu’au milieu du XIXe siècle. Si des dessins plus anciens montrent ces animaux primitifs, il faut que des hommes aient à un moment ou à un autre vu des dinosaures vivants. Ou bien ils avaient des images encore plus anciennes, ce qui ne se peut pas si notre image du monde est correcte. La figuration d’un dinosaure sur un artéfact daté de l’an 800 prouve que la découverte est une supercherie.

Ou alors ?

Si l’on regarde le dessin sur le sabre, qui pourrait représenter un Apatosaurus ou un Diplodocus vivant à l’époque dans le Sud-Ouest de l’Amérique, on est frappé par la position de ce sauropode. Dans mon Manuel des Dinosaures, paru en 2002, j’ai controversé la posture de cet animal primitif et je l’ai discutée en tenant compte des résultats des recherches les plus récentes. Ces dernières indiquent que contrairement à la conception en vigueur jusque-là, les sauropodes tenaient leur cou horizontalement et ne pouvaient guère le lever, parce qu’autrement les os des vertèbres du cou se seraient encastrés9. Même les queues qui prolongent la colonne vertébrale étaient tenues horizontalement, balancées dans l’air ou bien nageant dans l’eau, car on ne trouve aucune trace de queue traînant entre les empreintes fossilisées des pieds.

Il n’y a pas très longtemps encore, on voyait, dans chaque ouvrage scientifique et dans les musées, des dinosaures traînant derrière eux leur queue sur le sol, avec une tête surélevée, souvent dans une posture de kangourou. Les squelettes auxquels on a donné cette position sont actuellement réagencés dans tous les musées du monde, en fonction des budgets disponibles. Si les artéfacts de Silverbell de 1924 sont falsifiés, premièrement la seule figuration d’un dinosaure aurait déjà constitué une faute radicalement impardonnable, car il n’y avait pas de reconstructions des dinosaures avant 1800, et deuxièmement, si un artiste avait créé les artéfacts peu avant la découverte officielle, au début des années 20, il aurait représenté le saurien comme on le postulait en général à cette époque et aussi dans les ouvrages scientifiques : avec un cou redressé et une queue traînant sur le sol.

Si ces artéfacts sont falsifiés, alors l’artiste de l’époque était un clairvoyant, parce qu’il aurait représenté ce sauropode d’une façon anatomiquement exacte, analogue à la connaissance scientifique qui n’a commencé à germer qu’environ 70 ans plus tard.

Mais s’ils sont authentiques ?

Peut-être savait-on, il y a plus de 1200 ans, quel était l’aspect des dinosaures ? Peut-être même y avait-il encore quelques animaux vivants et isolés ?

Les circonstances de la découverte démontrent-elles l’authenticité des trouvailles ? Les photos des fouilles montrent que les artéfacts contestés étaient solidement inclus dans une strate semblable au béton, nommée par les géologues caliche. Cette couche géologique faite de carbonate de calcium apparaît dans de vastes régions du Sud-Ouest des États-Unis. Elle constitue une sorte de couche de béton naturel, et elle est aussi appelée desert cement, c’est-à-dire ciment du désert. Stephen Williams, professeur d’archéologie et d’ethnologie américaines à l’Université de Harvard, présente, dans son livre Fantastic Archaeology, les artéfacts de Silverbell comme une supercherie, mais il s’étonne en même temps que le faussaire présumé ait pu les introduire dans une couche de caliche de type « béton  », si bien qu’on a l’« impression  » d’un site non remanié, car les fouilles étaient officiellement entreprises par des archéologues de l’Université de Tucson10. On a établi que cette formation spéciale de caliche s’étend sur de grandes surfaces le long des Tucsons Mountains, et ne représente donc pas un gisement ponctuel, éventuellement fabriqué artificiellement, incluant en même temps des artéfacts11. Dean G. M. Butler, du College of Mines and Engeneering de l’Université de l’Arizona, confirme en plus que le caliche est censé durcir très lentement, et « qu’il n’y a aucune chance pour que ces artéfacts aient pu être inclus dans cette région, dans cette formation, après l’arrivée des Américains  »12.

Position. Représentation exacte, d’aspect moderne (comme en B) d’un sauropode, avec cou et queue droits, sur un sabre censé dater de l’an 800, découvert pendant des fouilles en 1924 à Tucson (C). Conformément à la doctrine régnante en 1924, le sauropode aurait dû être représenté avec une tête verticale et une queue traînante (A) si l’artéfact avait été une supercherie.

Même si je suis d’un avis différent à propos de la durée de solidification, car le carbonate de calcium durcit relativement vite, l’inclusion solide des artéfacts de Silverbell dans la formation de caliche représente un argument en faveur de l’authenticité de la découverte. D’un autre côté, l’âge mesuré de la formation de caliche dans les périodes géologiques serait relativement jeune, c’est-à-dire tout au plus 1200 ans, et le sol désertique au-dessus serait encore plus jeune. Le désert de cet endroit s’est-il donc formé si tard ? Les couches géologiques sont-elles foncièrement plus jeunes que ce que les géologues indiquent ? Les témoignages géologiques en faveur de périodes conçues comme longues sont-ils une interprétation erronée ? Les périodes longues de l’histoire de la terre, que l’on propage dans les manuels, sont-elles une fiction ? Les formations géologiques, que l’on dit s’être constituées lentement, grain après grain, ont-elles été créées par des événements catastrophiques, dont chacun s’est produit au cours d’un temps très bref ? On le sait, les vagues géantes, les tsunamis, changent totalement une contrée et constituent de nouvelles couches géologiques en quelques heures, alors que des scénarios « normaux  », qui se déroulent lentement (sédimentation, érosion) nécessiteraient des millénaires, ou même plus. Considérons de prétendus témoignages en faveur d’un âge élevé de la croûte terrestre, et posons-nous la question de savoir s’il n’y a pas là des processus semblables à des accélérations responsables d’un raccourcissement drastique de longues périodes géologiques. Le couplage scientifique rigide de l’échelle chronologique géologique et de l’échelle chronologique biologique (évolutive), démontre que l’évolution prétendument extrêmement lente, dont on propage l’idée, est un conte, car de même qu’il y a des processus géologiques qui se déroulent en accéléré, les précurseurs simiesques de l’homme, quels qu’ils soient, devraient avoir muté presque subitement (en accéléré), pour aboutir aux êtres humains modernes.

L’ère tertiaire ère fantôme

Une des objections des spécialistes contre la cure de rajeunissement de la croûte terrestre est la formation de riffs fossiles épais. Ces formations géologiques se sont-elles constituées de fait lentement, par croissance biologique, ou rapidement, comme des formations anorganiques ? Les massifs calcaires de la Rheinisches Schiefergebirge, épais de plusieurs centaines de mètres, étendus sur des kilomètres, interprétés dans la littérature comme des riffs fossiles, sont jugés autrement par le spécialiste critique Julius Spriestersbach : dans ces calcaires que les intempéries n’ont pas abimés, « les lignes de stratification sont le plus souvent comme coupées au couteau, et les surfaces des couches apparaissent comme lissées avec un rabot. Fait qui contredit une formation de riff  »13. Le seul corps de riff que reconnaissait Spriestersbach se trouvait à l’extrémité de l’Aggertalsperre à Bredenbruch, sous l’eau, et fut pendant longtemps inapprochable. C’est seulement l’évacuation de l’eau qui permit un examen en 1985 : le riff supposé ne présente pas de colonies qui aient grandi ensemble, mais au contraire des strates pressées violemment l’une contre l’autre14. Conclusion : il n’y a aucun riff dans la Rheinisches Schiefergebirge !

De la même manière, des formations apparaissant en Suède centrale, en Angleterre ou dans les Alpes, venues du paléozoïque, sont considérées comme édifiées sur place (autochtones) - une interprétation erronée. Des millions d’années auraient été nécessaires pour construire ces riffs. Mais dans ces cas et dans d’autres, il s’agit de calcite fibreux (stromatactis) né de façon anorganique, qui ressemble visuellement tout à fait à une structure de riff née biologiquement (organiquement), parce que les couches de calcite pénètrent la pierre et forment le début d’un réseau. Contrairement à la formation biologique, la formation anorganique de ces prétendus coraux et coraux en couche (stromatopores) se déroule très vite, parce que l’eau ne peut être enfermée dans les espaces creux de la pierre que dans des circonstances catastrophiques15. Conclusion : ces riffs très anciens qui ont grandi soi disant lentement et de façon autochtones (sur le site de la découverte) ont été amalgamés en un laps de temps très bref par de grandes masses d’eau, d’une façon anorganique, dans des circonstances catastrophiques. D’un autre côté, les pierres calcaires âgées de 400 millions d’années issues du paléozoïque (silurien et dévonien) sont des coraux parfaitement authentiques, mais qui ne se sont en aucune manière développés sur place. Ces stratifications sont constituées de pierres fossiles amenées rapidement lors d’un « déluge  », et qui contiennent naturellement ces animaux marins antédiluviens.

Un autre argument en faveur d’une croûte terrestre ancienne : les riffs de l’époque tertiaire, qui en partie vivent encore, sont censés témoigner d’un âge élevé. Lors de ma visite de la Great Barrier Riff sur la côte Est de l’Australie, j’ai dû constater que ce riff corallien est daté de 20 millions d’années. « Impossible  », tel fut mon jugement, car le tertiaire récent (-24 à -1,7 Ma) doit être caractérisé par un climat qui se refroidit - or les coraux d’eau chaude ont besoin d’une température moyenne élevée de 20°. Une contradiction dans la théorie !

Au grand étonnement des spécialistes, mon opinion a été confirmée dans son principe en 2001 par une publication dans le journal scientifique Geology16, car de nouvelles analyses avaient livré pour la Great Barrier Riff un âge juvénile de seulement 600.000 ans, au moins 33 fois plus jeune ! D’autres examens confirmeront que les autres riffs coralliens dans le monde sont eux aussi plus jeunes. Il est vrai que régnait, à ce moment, la prétendue grande glaciation : il faisait encore plus froid que 20 millions d’années auparavant. Nous devons réduire encore une fois l’âge du riff, et faire croître les coraux en quelques milliers d’années avant le déluge, quand l’axe de la terre était droit (vertical par rapport à sa trajectoire) et qu’il régnait sur la terre, du pôle Nord au pôle Sud, un climat global de serre (discussion détaillée dans L’erreur de Darwin) - donc des conditions climatiques dont on a reconnu récemment qu’elles régnaient au cours d’une période incluant le crétacé, jusqu’à la moitié de l’époque tertiaire il y a 30 millions d’années. Mais nous y reviendrons plus tard. Même les montagnes rajeunissent. Des particules de mica du piémont pakistanais de l’Himalaya ont été datées et ne sont âgées que de 36 à 40 millions d’années17. D’après les idées que l’on avait jusque-là, la surrection de l’Himalaya devrait s’être passée 20 millions d’années plus tôt, il s’agit donc un rajeunissement d’un tiers.

Depuis quelque temps, de nouvelles recherches scientifiques mettent toujours en évidence des raccourcissements temporels concernant l’ère tertiaire (-65 à -1,7 Ma). Conformément à ce que j’expose dans mon livre Erreurs de l’histoire terrestre, le tertiaire, qui suit l’ère des dinosaures, devrait être raccourci par un effet d’accélération et réduit à un « temps nul  ». L’effet de compression de cette ère tertiaire se base sur le scénario de fin du monde (déluge) qui est officiellement défini comme la limite crétacé-tertiaire (limite K/T), contemporaine de l’extinction des dinosaures il y a 65 millions d’années.

Les grandes catastrophes naturelles occasionnent toujours un saut temporel (donc un impact temporel) pour les régions concernées, car les processus cataclysmiques se déroulent à un tempo haletant, pratiquement comme une espèce d’accélérateur temporel de processus de sédimentation géologique qui se déroulent de façon homogène, sur une longue durée. Si l’on ne prend pas en compte l’impact temporel, la catastrophe naturelle est un événement de durée brève remplaçant des périodes géologique qui paraissent autrement presque infiniment longues, et qui à leur tour en tant que base de processus géologiques et biologiques sont mises à contribution, car l’évolution nécessite beaucoup de temps.

Mais il y a bien des couches de roches épaisses, qui doivent s’être formées à l’époque du tertiaire ? La succession des couches (stratigraphie) du tertiaire et du quaternaire qui le suit après la date d’extinction des dinosaures (limite K/T) est caractérisée d’une manière exacte par un géologue, le professeur J. Hsü : « Nulle part sur terre nous ne pouvons trouver une séquence transversale, continuelle et verticale depuis la période actuelle jusqu’à l’époque des dinosaures (donc dans le quaternaire et le tertiaire, HJZ)  »18. Il faut noter ici que les plus importantes masses de sédiments de toutes les ères ont été formées au tertiaire selon Holt (1966).

Déjà, le précurseur des géologues modernes, Charles Lyell19, reconnaissait justement « que les formations tertiaires consistent généralement en masses situées seules, largement isolées, qui sont entourées de tous côtés par des formations du primaire et du secondaire (donc des roches originelles, HJZ). Elles se placent, par rapport à ces formations, comme des lacs intérieurs ou des baies plus ou moins grands par rapport aux masses de terre qui les portent. Elles sont, tout comme ces eaux, souvent très profondes, mais en même temps aussi de taille limitée  ». Dans ce cas, l’observation de Lyell est correcte, car les couches tertiaires ne sont pas disposées en plaques très étendues, mais sont disséminées comme les parties singulières d’un tapis rapiécé, un peu comme si l’on dispersait des dominos (= couches géologiques) d’un geste violent. En d’autres termes : pour pouvoir établir une chronologie relative pure des couches tertiaires, celles-ci devraient être disposées d’une certaine manière compréhensible, comme des dominos entassés l’un sur l’autre. Or ce préalable nécessaire fait totalement et radicalement défaut.

Lorsque nous regardons des cartes de l’Europe, de l’Amérique du Nord, de l’Amérique du Sud ou de l’Asie, et la répartition des dépôts marins, qui ont été formés après le crétacé pendant le tertiaire, on voit apparaître un système. Car nombre des plus grands fleuves drainent des bassins larges ou étroits, dont les bords consistent en bandes concentriques de formations concaves intégrées l’une dans l’autre.

Un bel exemple de ce fait est offert par le bassin parisien (bassin de la Seine) dont les bords ont été constitués à l’époque des dinosaures (jurassique et crétacé), alors que les éléments singuliers (plus jeunes) des formations du tertiaire couvrent des espaces sans cesse plus étroits, s’étendant jusqu’à la mer du Nord sous forme de dépôts disposés concentriquement, et s’organisent en se superposant ou en se suivant.

La structure du bassin de la Tamise en Angleterre est tout à fait similaire. Le Rhône et le Danube aussi s’écoulent dans des canaux tertiaires étendus, et en Amérique du Nord, la vallée inférieure du Mississippi est couverte par des bandes de roches tertiaires, ce qui est aussi le cas de la côte Est de la Floride jusqu’à la Caroline. En Amérique du Sud, l’Amazone s’écoule par un long bassin jusqu’à des bras de mer, et en Asie, les fleuves les plus longs drainent un ancien fond marin. Conclusion : « On ne peut citer presque aucune région côtière un peu vaste des continents actuels qui n’ait été abandonnée petit à petit par la mer pendant l’ère tertiaire (après l’ère des dinosaures, HJZ)  »20.

En établissant une analogie avec les exposés de ce livre, il n’est pas difficile de reconnaître d’un côté la submersion et le reflux consécutif de grandes masses d’eau, et d’un autre côté la formation ou la surrection des montagnes après la mort des dinosaures (= fin du crétacé), qui seules ont fait naître les grand courants, qui n’existaient pas auparavant à l’époque des dinosaures (SUITE DANS LE LIVRE)


~ Table ~


Prologue.....5

1 Cure de rajeunissement....9

2 Chaos d’ossements...65

3 Datation et arbitraire....131

4 Purs mensonges: l’hominisation....148

5 L'Erreur Néandertal...199

6 Preuves falsifiées de l’évolution....296

Epilogue...330

Bibliographie.....334





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